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Border en France. Ils sont ainsi expertisés comme les autres.
J. Allouis trouve que la première page est trop dense, qu'il n'y a pas assez de place pour
écrire et qu'il y manque l'information sur le sexe. Même remarque que J.M.J. la race des
brebis influe beaucoup sur le comportement du chien. Il aimerait pouvoir nuancer ses
réponses dans " Les animaux sont dans le cercle §II-4 et III-4.
P. Beausoleil trouve le test bien fait, il regarde les dents et les testicules en début de test
sur chien propre et calme puis les mensurations en fin de test sur chien détendu. Il a des
difficultés à quantifier l'œil et la puissance. Il teste la recherche (sans placement préparé)
avant ou à la place du maître pour voir une action qui ne soit pas construite par un proprié-
taire initié.
J. Dauvois conteste ce fonctionnement. Il estime qu'il faut se mettre à la place du chef de
meute et donc se positionner correctement pour que chacun soit dans son rôle. Il regrette
que le protocole ne fasse pas ressortir les chiens qui respectent la périphérie de la zone de
sécurité du troupeau.
Sur l'œil et la puissance, il dit que les chiens extrêmes sont très rares et que l'élite est issue
des chiens moyens.
D. Fischer souhaite que quelqu'un qui ne soit pas membre de notre association puisse télé-
charger notre document. Il souhaite aussi que, à la fin du document, nous remplacions la
date, le lieu et le nom du juge (déjà demandé en début de document) par un texte qui pré-
cise le but du document.
Il proposera ce texte à l'adoption avec le compte rendu. Il faut néanmoins conserver une
place pour la signature de l'expert.
Enfin, il met en doute l'utilité de l'épreuve d'affrontement dont il soupçonne qu'elle est tra-
vaillée.
G. Schneider trouve que l'identification est trop restreinte.
Il fait ressortir qu'il y a un problème sur l'interprétation des chiffres quantifiant l'œil et la
puissance. Il conviendrait de modifier les termes et au moins remplacer " Moyen " qui sem-
ble dépréciatif par " Normal " mieux perçu.
L. Vrignon : Pour lui l'inscription au LOF est un droit à reproduire dans la race. Le test doit
faire ressortir les qualités naturelles du chien et il aimerait qu'apparaissent le caractère de
celui-ci :
Souple ou dur.
Il incite à tester les brebis avec son propre chien avant d'expertiser les chiens à inscrire.
A. Wolters demande quelle attitude retenir lorsque sur un test, la réaction du chien évolue
et le ferait changer de case de réponse ?
J.M.J. répond qu'il faut noter la dernière attitude.
X. Fournier rappelle que, sur le site, on peut à partir du nom du chien accéder au test et aux
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