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*Ceci afin d’assurer un renouvellement automatique et que plus de personnes s’im-
pliquent dans notre association.
*Nos régions ayant été modifiées ne faudrait-il pas également modifier le nombre d’admi-
nistrateurs en rapport au nombre d’adhérents par région (exemple au dessus de 50 adhérents
d’avoir unmembre supplémentaire par tranche de 20ou50). Pour cela il aurait fallu recenser
le nombre d’adhérents sur les anciennes régions pour voir les incidences sur les nouvelles.
*Dans les nouveaux statuts la convocation à l’assemblée générale est exclusi-
vement inscrite lors de la coupe de France. Il faudrait se donner en cas d’em-
pêchement la possibilité de l’organiser lors d’un autre grand rassemblement.
*Comment avez-vous pu organiser des élections alors que Lionel Vrignon n’a pas
démissionné ?
*Comment se fait-il qu’aucune réclamation pour annulation du scrutin n’a été faite selon
les textes de loi et que nulle part dans nos statuts, des élections partielles sont prévues ?
Réponse :
François Nargeot pour la commission des votes intervient pour dire que suite
au CA du 19 novembre Lionel Vrignon avait donné sa parole de démissionner suite à
cette réunion
– Didier expose les faits, Les différents échanges de courriers ont
été mis en ligne sur le site de l’AFBC. La parole est donnée à Lio-
nel Vrignon qui expose ses arguments et demande que le débat soit clos.
« Bonsoir à tous, merci de me donner la parole. En préambule, en accord avec Di-
dier il n’y aura pas de question ni débat suite à mon intervention, l’affaire sera close.
Dans cette affaire beaucoup d’erreurs volontaires et involontaires ont été commises et
combien de déclarations mensongères ont été faites.
Entre ceux qui devaient être candidat qui oublient de l’être et ceux qui ne devaient pas
l’être qui l’ont été, j’étais le seul à avoir respecté la procédure électorale, malgré tout cela
nous n’avons pas pu trouver un accord avec la commission et le C.A.
Effectivement lors du C.A. du 19 novembre 2016 afin de sortir de l’impasse j’ai donné
ma parole pour démissionner après discussion avec Guy Martinon.
Pourquoi ne l’ai-je pas fait ?
Pour deux raisons :
Suite au C.A., après conseil et lecture des statuts je me suis aper-
çu qu’il ne pouvait pas y avoir de nouvelles élections entre deux assem-
blées générales mais une cooptation (comme on l’a fait pour d’autres régions)
Guy Martinon dans son courrier n’assumait pas son erreur et la reje-
tait sur la commission y ajoutant d’autres affirmations complètement fausses.